Exhibition | European Old Masters: 16th–19th Centuries
Press release for the exhibition:
European Old Masters: 16th–19th Centuries
Hazelhurst Regional Gallery and Arts Centre, Gymea (Sydney), 28 September — 3 December 2017

Jean-Marc Nattier, Portrait of Madame de La Porte, 1754; oil on canvas, 82 × 65.5 cm (Art Gallery of New South Wales, gift of William Bowmore, OBE 1992).
New South Wales’s most important European old masters including magnificent works by some of the leading Italian, French, and British artists of the High Renaissance, Baroque, Rococo, and Romantic periods are on loan from the Art Gallery of New South Wales to Hazelhurst Regional Gallery for the exhibition European Old Masters: 16th–19th Century.
Michael Brand, director of the Art Gallery of New South Wales said the exhibition is the first occasion so many of these important European paintings have been shown together outside the Art Gallery of New South Wales. “We are delighted to collaborate with Hazelhurst Regional Gallery to share some of the finest European works in our collection with their audiences in the Sutherland Shire and further afield,” Brand said. “The Gallery’s early ambitions to display paintings by the masters can be seen in the roll-call of European greats inscribed on the building’s façade, and I applaud Hazelhurst Regional Gallery for showing works from this glorious tradition that is still relevant today,” Brand added.
Belinda Hanrahan, director, Hazelhurst Regional Gallery said leading artists in the exhibition include Thomas Gainsborough, William Hogarth, Sir Joshua Reynolds, Bernardo Strozzi, and Frans Snyders. “Hazelhurst Gallery is thrilled that Michael Brand as director of the Art Gallery of New South Wales has given us this opportunity for people to encounter the state’s finest European old masters. Paintings such as these remind us of what is constant in human experience and emotion while offering an insight into ages and cultures so different to our own,” Belinda said.
Sutherland Shire Mayor and Hazelhurst Gallery Board member, Carmelo Pesce said this exhibition is another example of our commitment to a culturally rich community. The Sutherland Shire community is the first to see the collection outside its home and showcases Council’s commitment to strengthen its community connections through shared cultural experiences.
Despite its early ambitions to collect works by the European masters, The Art Gallery of New South Wales did not in fact start collecting old masters until the 1950s. AGNSW curator European prints, drawings and watercolours, Peter Raissis said prior to that time the great masters of the past could be experienced only through copies intended for educational purposes due to the Gallery’s earlier focus on acquiring works by living artists. “Between 1951 and 1976, the Gallery acquired an outstanding group of English 18th-century portraits, including works by three of the leading painters of the age: William Hogarth, Thomas Gainsborough, and Joshua Reynolds. During these years the Gallery also purchased landscapes and subject pictures representative of British Neo-Classicism and Romanticism by artists such as Richard Wilson, John Glover, Richard Westall, William Hamilton, and Francis Danby. “Although accessions of non-British painting were rare, three powerful and imposing figural compositions by the Baroque painters Bernardo Strozzi, Jan van Bijlert, and Matthias Stomer expanded the scope and ambition of the collection,” Raissis said.
The extraordinary donation by James Fairfax AC during the 1990s significantly enriched the Gallery’s holdings of European old masters, particularly in the area of 18th-century French and Italian art such as the works by Nicolas de Largillierre and Canaletto. The collection has continued to develop with the acquisition of major Italian Renaissance and Baroque works such as the work of Giulio Cesare Procaccini, also exhibited in European Old Masters: 16th–19th Century.
Journée d’étude | Jacques-François Blondel
From the conference flyer:
Jacques-François Blondel et l’enseignement de l’architecture:
La dernière leçon de l’architecture « à la française »
Cité de l’architecture et du patrimoine, Paris, 14 December 2017

Gabriel de Saint-Aubin, Blondel démontrant des machines dans l’académie d’architecture, 1770, Recueil de poésies de Sedaine, 1770 (Chantilly, Musée Condé).
Dernier héraut de l’architecture à la française, Jacques-François Blondel (1708/9–1774) a formé dans son école privée et à l’Académie royale d’architecture parmi les architectes les plus renommés de la seconde moi é du XVIIIe siècle et du début du siècle suivant : Claude-Nicolas Ledoux, Étienne-Louis Boullée, Alexandre Brongniart ou William Chambers… La pédagogie révolutionnaire qu’il développa dans l’enseignement de l’architecture tout au long de sa carrière a connu une ample diffusion en France, en Europe et même, outre-Atlantique, jusqu’au Québec. Si certains architectes l’appliquèrent à la lettre, d’autres s’en affranchirent et allèrent au-delà des leçons professées par le maître.
Organisée en partenariat avec la Ville de Metz et l’École na onale supérieure d’architecture de Nancy, cette journée d’étude internationale est centrée sur le rôle de Jacques-François Blondel dans l’enseignement de l’architecture. Elle annonce l’exposition monographique Blondel, architecte des Lumières qui sera présentée à Metz, à l’Arsenal, du 13 avril au 13 juillet 2018 et l’exposition-dossier que la Cité de l’architecture et du patrimoine lui consacrera la même année. Cette rencontre se propose de revenir sur les idées ainsi que les méthodes pédagogiques dispensées par J.-F. Blondel, et de relire, au travers d’un prisme neuf, les fondamentaux de son enseignement. La participation à cette journée est gratuite; inscription en ligne obligatoire. Contact: jean-marc.hofman@citedelarchitecture.fr.
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9.00 Accueil
9.20 Ouverture de la journée d’étude
• Corinne Bélier (Directrice du musée des Monuments français)
• Lorenzo Diez (Directeur de l’École nationale supérieure d’architecture de Nancy)
• Dominique Gros (Maire de Metz)
9.45 Jacques-François Blondel : état de la recherche, Aurélien Davrius (Maître-assistant à l’École nationale supérieure d’architecture de Paris-Malaquais, Laboratoire LIAT)
10.15 Jacques-François Blondel, un professeur innovant à l’Académie royale d’architecture ?, Hélène Rousteau-Chambon (Professeur d’histoire de l’art moderne à l’université de Nantes)
10.45 Blondel et les Mansart : une leçon particulière, Philippe Cachau (Docteur en histoire de l’art)
11.15 Pause-café
11.45 Les savoirs théoriques et techniques transmis par Blondel au travers de l’exemple du matériau plâtre, Christelle Inizan (Chargée d’études et de recherches, Médiathèque de l’architecture et du patrimoine, Centre de recherches sur les Monuments historiques)
12.15 L’influence de J.-F. Blondel sur le cours d’architecture de l’École des Ponts et Chaussées, Théodore Guuinec (Architecte DE-HNOMNP, historien du patrimoine)
12.45 Questions ouvertes aux intervenants
13.00 Pause-déjeune
14.30 L’enseignement de l’expérience architecturale chez Blondel et ses collègues anglais, Sigrid de Jong (Chercheur à l’université de Leyde, Pays-Bas)
15.00 « Como ha hecho el Sieur Blondel, en Francia… » Réflexions sur l’influence de la théorie architecturale française autour de Jacques-François Blondel en Espagne, 1750–1800, Adrián Almoguera (Doctorant contractuel en histoire de l’architecture Université de Paris Sorbonne / Centre André Chastel)
15.30 Le Précis d’architecture (1828) de l’abbé Jérôme Demers et le prolongement de l’enseignement de Blondel au Canada au XIXe siècle, Marc Grignon (Professeur d’Histoire de l’art à l’Université Laval) et Pierre-Édouard Latouche (Professeur au département d’histoire de l’art à l’Université du Québec à Montréal)
16.15 Pause
16.30 L’École des arts de Jacques-François Blondel ou l’invention d’une pédagogie des relations entre architecture, sculpture et peinture, Laure Chabanne (Conservateur du patrimoine, musée et domaine nationaux du palais de Compiègne)
17.00 « Le Grand Blondel », Jean-Marie Pérouse de Montclos (Directeur de recherche honoraire au CNRS)
17.30 Vers une conception « évolutionnaire » de l’architecture : Jacques-François Blondel et la question du jugement professionnel dans la théorie de Peter Collins, Denis Bilodeau (Professeur tulaire à l’École d’architecture de l’Université de Montréal)
18.00 Questions ouvertes aux intervenants
18.20 Conclusion de la journée, Pierre Caye (Directeur de recherche au CNRS)
19.30 Visite de la galerie des moulages
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